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Taille (Ordres de grandeur)
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à une profondeur (immersion)
qui peut atteindre 350 mètre voire plus.
quelques centaines de tonnes pour les plus petits
(midgets) à quelques dizaines de milliers de tonnes pour les
sous-marins géants.
son seul mode de "visualisation" de son
environnement est l'écoute des sons environnants avec ses sonars.
conduire un sous-marin consiste notamment à contrôler
sa pesée en acceptant ou en
refoulant de l'eau dans des citernes appelées ballasts, ou, pour des ajustements fin, des réservoirs de
positionnement dits "caisses
d'assiette". Assiette:
l'angle que fait le fond du sous-marin avec l'horizontale.
et souvent d'une deuxième coque mince qui enveloppe la coque
épaisse. |
En gras les mots du métier
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Selon
leur propulsion et le type d'armement, nucléaire ou non
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SM : sous-marin
SSK le K veut dire Killer, tueur
LA
PROPULSION |
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Sous-marin conventionnel
L'électricité
nécessaire est fournie par des batteries d'accumulateurs disposées en grand
nombre au fond du sous-marin. ·
Ces batteries sont chargées grâce à un groupe
électrogène à moteur diesel. ·
Le moteur diesel est mis en marche lorsque le
sous-marin est proche de la surface, en position pour capturer l'oxygène de
l'air, nécessaire pour le fonctionnement du moteur. ·
Le tuyau envoyé en surface de l'eau pour prendre de
l'air est appelé schnorchel. Dans cette position de chargement des batteries,
le sous-marin est vulnérable car il est en surface et fait du bruit. Il est
alors très facilement détectable. Habituellement un sous-marin classique ne peut
pas rester plus de quelques jours en immersion sans recharger ses batteries. Sous-marin conventionnel équipés de
moteur anaérobie
Notamment
avec des piles à combustibles
(fuel-cells) ·
qui emportent à bord de l'hydrogène et de l'oxygène
sous des formes appropriées et ·
qui transforme ces deux éléments en eau (électrolyse inverse) avec dégagement
de chaleur, ·
source d'énergie, transformée ensuite en électricité . Ces solutions sont connues sous le vocable
" propulsion par moteur anaérobie ou AIP en anglais (Air Independent
Propulsion). Sous-marin à propulsion nucléaire
Leur
autonomie n'est plus liée au manque d'énergie, mais plutôt à la logistique
(ravitaillement) et surtout à l'endurance des hommes à bord. Leur
temps de mission sous l'eau (sans faire surface) se compte en mois. |
Voir Propulsion des navires / Hélices et cavitation
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Note: certaines études
(dont au moins Norvège) montrent que passer à huit pales réduiraient le
bruit. De toute manière la conception des hélices de sous-marins reste un
secret bien gardé. |
Cornelis
Drebbel (1572-1633), immigré néerlandais à Londres; mécanicien et chimiste En
1620, il plonge un submersible dans la Tamise pendant trois heures. Son
troisième sous-marin (1624) emmènera 16 passagers. Les
personnes à bord respirent à l'aide de bouteilles d'un gaz qu'il obtenait en
chauffant du salpêtre (nitrate de potassium).
Robert Boyle (1627-1691) reconnait que Drebbel a découvert que l'air est un mélange de plusieurs gaz dont
l'un est essentiel à la vie. Il sera baptise oxygène deux siècles plus tard. |
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83 –
Corée du Nord 74 –
Chine* (* dont nucléaire) 66 –
États-Unis* 62 –
Russie* 34 – Iran
22 –
Corée du Sud 20 –
Japon 16 –
Inde* 12 –
Turkie 11 –
Colombie 11 –
Grèce 10 –
Royaume-Uni* 9 – France*
(5 SNA et 4 SNLE) 8 –
Pakistan 8 –
Italie 8 –
Égypte 6 –
Australie 6 –
Brésil 6 –
Allemagne 6 –
Viêt-Nam 6 –
Norvège |
6 –
Algérie 5 –
Israël 5 –
Indonésie 5 – Suède 5 – Pérou
4 – Chili 4 –
Taïwan 4 –
Pays-Bas 4 –
Canada 4 –
Azerbaïdjan 3 – Espagne 3 –
Afrique du Sud 3 –
Pologne 3 –
Équateur 2 –
Malaisie 2 –
Portugal 2 –
Argentine 2 –
Venezuela 2 – Bengladesh 1 – Myanmar 553 au total |
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Liste des sous-marins nucléaires français (rouge: SNLE)
En service en 2023: 4+1 SNA et 4 SNLE; en construction: 4 SNA
Le SNA Suffren (classes Barracuda) a été remis à la Marine Nationale le
3 juin 2022
Voir Duguay-Trouin
Source Frise
chronologique – Wikipédia
Voir |
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Aussi |
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Sites |
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Sites sur les hélices |
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Vidéo |
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Extra |
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